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Certaines choses fleurissent d’autres fanent.
Certains des mots glissent d’autres s’étalent.
Au milieu du dos ou dans le vent qui file,
se plante un couteau ou s’élève en vrille.
Les uns s’avancent les autres se pensent.
Les uns s’avouent les autres s’élancent.
Une vaine poursuite qui n’en a pas,
détale en une belle fuite qui s’arrête là.
Combien de mythes pour autant de tus.
Combien de peau pour autant de mues.
Le soleil s’invite dans le printemps froid,
arrachage au plus vite du bout des doigts.
Ritournelles des jupons qui se retroussent.
Ritournelles des iris qui tout bleu se trémoussent.
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